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mardi 29 octobre 2013

Le signal

Il n'en est qu'un seul. Fiable. Incontestable.
Le jour où Lulu règle son réveil sur mars et tire la couverture à lui, le jardin comprend qu'il doit se préparer à affronter la première tempête de l'hiver.
Le temps de ranger les dernières récoltes,


de saluer les belles demoiselles,

































de s'atteler à un dernier nettoyage,


et y a plus qu'à se pelotonner au coin du feu en attendant le retour des beaux jours... 


Sauf qu'on peut aussi prévoir de jolies choses pendant l'automne et l'hiver, et se préparer de belles surprises pour le printemps. Bien dispersés aux quatres coins du Jardin du Vent on verra ce que nous réserve cette attention tulipesque de nos copains de chez Botanic.
Je sais que ça t'énerve un peu ces petites pages de réclame, mais il faut bien qu'ils soient remercier...ils m'offrent des fleurs quand même!!!


Ps: Tu notes bien que Lulu c'est le plus fort du monde, hein!

jeudi 19 septembre 2013

Une longueur d'avance

L'été tire à sa fin. Les tomates et les courgettes et les aubergines sont en pleine maturité. Les poivrons sont en fait des piments (merci les plants mélangés chez le producteur de plants maraîchers), les oignons sont bien roses, et il reste quelques pois chiches de l'année dernière.

On se concocte une énorme gamelle de ratatouille et on prépare des conserves pour cet hiver. C'est bon c'est joli et c'est tellement revigorant de tirer sur le caoutchouc d'un bocal un soir d'hiver et de renifler les senteurs de l'été envahissant la cuisine.

T'as jamais fait? 
C'est facile. Tu fais revenir à l'huile d'olive les légumes les uns après les autres dans une sauteuse (oignons, aubergines, poivrons, courgettes, tomates, gousses d’ail entières), tu les mélanges dans une grosse gamelle avec quelques belles branches de thym.
Tu laves bien tes bocaux, tu les remplis de légumes jusqu'à 2 cm du bord. Tu jettes quelques pois chiches secs dans chaque bocal (en gonflant ils absorberont le trop plein d'eau rejetés par les légumes pendant la stérilisation). Tu recouvres d'eau salée.
Tu fais bouillir les joints, tu fermes les bocaux et tu stérilises pendant 1h30 à 100°C.

mardi 20 août 2013

Secret de fabrication

C'est ici. C'est ici qu'on fabrique le vent.
Mais c'est ici aussi qu'on fait pousser le soleil.





Pour bien réussir ton soleil, il faut de la patience et un peu de chance. Tout commence à l'automne, tu mets bien de côté tes épluchures et tes graines de soleil. Tu les jettes au compost en leur souhaitant un bon hiver. Tu penses à elles de temps à autre, mais pas trop non plus. Vers la fin de l'hiver, ton compost trépigne d'impatience à l'idée d'être étalé en divers endroits du potager. Tu accèdes à son rêve le plus cher en l'enfouissant au pied des asperges.
D'une façon désinvolte, tu chantonnes "sous le soleil exactement", histoire de rappeler à tes petites graines ce que tu attends d'elles.
Les mois qui suivent, tu complimentes les asperges en ignorant ostensiblement ce soleil qui ne daigne pas pointer son nez. Tu sais qu'il ne s'en fera que plus beau, afin que tu te te surpasses  d'éloges à son encontre...quand enfin il se montrera.
Au début de l'été, le voilà enfin. 
"pas à côté, pas n'importe où"

Au premier abord, il s'agit bien entendu d'une pousse verte qui ressemble à s'y méprendre à n'importe quelle pousse de cucurbitacée. Mais au fil des jours tu ne peux plus le cacher. 
Tout le monde voit bien que c'est le soleil qui pousse dans ton jardin. 

jeudi 15 août 2013

Au gré des envies


Une envie de légumes.
Une envie de légumes pas cuisinés comme d'ordinaire.
Une envie de légumes croquante autour et moelleuse dedans.


Nez au vent dans le potager tu cueilles ce que tu trouves.
Ici: une petite courgette, deux aubergines, deux mini-carottes et un oignon.


Tu râpes finement le tout, tu sales et poivres. 
Tu peux ajouter du gingembre ou un curry. 
Tu as l'opportunité d'assaisonner à ta convenance. 
Selon tes envies ou tes préférences.


Dans un saladier, tu bats un oeuf. Tu l'incorpores aux légumes. 
Tu ouvres ton bocal de flocons de céréales et tu en verses une bonne portion sur le mélange, de façon à obtenir une consistance qui te permette de confectionner de belles boulettes. 


Tu les roules alors dans de la semoule fine de blé dur. 


Tu fais chauffer une larme d'huile d'olive dans ta casserole préférée. 
Tu déposes délicatement les boulettes. 
Tu les écoutes crépiter. 
Tu surveilles que le dessous ne brûle pas. 
Tu les retournes tout aussi délicatement que tu les as déposées. 


Si tu penses qu'elles sont assez cuites, tu n'as plus qu'à presser un filet de citron sur le dessus, un tout petit filet, faut pas cacher le goût des légumes, et tu croques.


Ça craque autour et c'est moelleux dedans, je te l'avais dit.


Si tu as suffisamment de patience pour dépiauter un tourteau sans en dévorer la chair au fur et à mesure, tu peux en ajouter à la base de légumes. 


Tu ne le regretteras pas.



lundi 22 juillet 2013

L'autre bout du monde

Je me suis réveillée au milieu de la savane.
Il s'est passé un truc. J'ai ouvert les yeux et j'ai vu ça:


au réveil, sans lunettes je ne vois pas très bien; je ne me suis donc pas posée trop de questions et suis partie à la recherche de mes yeux de secours. Quelques heures plus tard (j'égare souvent les bêtes), chaussée de verres correcteurs, j'ai vu ça:




Pas de doute possible, j'ai été transportée bien loin de ces côtes ventées et pluvieuses du Finistère nord.
Tout est poussière, les feuilles se ratatinent, les arbres se meurent, les papillons ont la gorge sèche, ça craque sous les pieds...là où tout était mousse et douceur, ce ne sont plus que brindilles cassantes et piquantes.



Tu ne me crois pas?
Tu as tort, j'ai même vu un lion...
Alors?

dimanche 14 juillet 2013

Chronique d'une catastrophe tomatesque

Tu sais que cette année la météo est un peu caractérielle. 
Tu ne sais peut-être pas qu'ici, dans le nord de la Bretagne, il a plu beaucoup plus que de raison pendant presque une année, il y a eu des gelées jusqu'à mi-mai, il a fait froid tout le mois de juin, et soudainement, plus l'ombre d'une goutte d'eau et des températures à faire transpirer les phoques.
Mets-toi à la place de n'importe quel végétal peu entraîné au trail de l'extrême: c'est une année éprouvante. 
On sait que la nature regorge de ressources mystérieuses, ainsi toutes les espèces endémiques trouvent le moyen de s'épanouir plus ou moins correctement. 
Il en est même qu'on avait jamais vues et qui ont pointé leur museau d'étamines dans les dunes rincées pendant une année.


Les choses ne se passent pas aussi bien pour tout le monde. 
Mes copines de l'été, celles pour qui nous avons aménagé une cabine de luxe, souffrent amèrement des ces changements de température que le verre de la serre (non chauffée) ne suffit pas à atténuer. Elles épuisent leurs forces dans ce combat contre nature, et abandonnent nombre de leurs fleurs pour sauver les fruits déjà formés.
Nous ne ferons pas d'indigestion de tomates cette année.





dimanche 7 juillet 2013

Jean-Michel a dit: 27°C à l'ombre et au vent

Il est arrivé, celui qu'on attendait tous, celui auquel plus personne ne croyait, celui qui ne durera peut-être pas, mais qu'importe, il est là.

Et avec lui, les cris des enfants volent de la plage jusqu'ici, les goélands n'en finissent pas de sourire, les échalotes et les oignons demandent grâce,


les fleurs se font belles,





les tomates ne se sentent plus de joie, et je ne te dis pas ce qu'il en est de nos papilles lorsqu'on leur présente ça:







Il en faut peu pour être heureux.

lundi 17 juin 2013

De fleur d'oranger en eau de rose

Tu sais que j'aime mettre la main à la pâte. 
Tu sais que j'aime les goûts d'ailleurs. 
Tu ne te doutais pas que j'aimais les histoires à l'eau de rose. 
Je dis "histoires", je devrais dire "recettes". 
Je dis "eau de rose", je devrais ajouter "eau de fleur d'oranger".
Tu vois ce que j'entends?

Il est des mots qui font saliver, rien qu'à les voir, rien qu'à les entendre. 
Karabige en est un.

Evidemment, là comme ça, je vois bien que ça n'émoustille pas tes papilles.

Attends que je t'explique, ensuite on en reparlera de tes papilles.

Pour une soixantaine de karabiges de la taille d'un pouce, il te faut:
550g de semoule de blé dure très fine (celle de chez Markal qu'on trouve en Biocoop est idéale) / 200g de beurre / 400g de pistaches non salées / 200g de sucre blond / 10cl d'eau de fleur d'oranger / 2cl d'eau de rose
Il te faut aussi prévoir une bonne partie de ton après-midi...
Dans le bol de ton robot, mélange la semoule avec le beurre, 7cl d'eau de fleur d'oranger et 1cl d'eau de rose. Laisse ensuite reposer la pâte pendant 2h au frais.
Profite de de ce temps libre pour décortiquer et hâcher grossièrement tes pistaches. Mélange-les avec le sucre et le reste des eaux de fleurs.
Les 2h sont écoulées, tu peux sortir la pâte du frigo et préchauffer ton four à 180°C. Tu prépares des boules de la taille d'une grosse noix. Tu leur fais prendre alors la forme d'un chinois (je parle de l'ustensile ainsi nommé, bien entendu), dans le creux tu insères de la préparation de pistaches, tu refermes proprement, et tu les roules de façon à en faire de jolis cylindres. Tu enfournes pendant une vingtaine de minutes. 
Surtout, tu laisses bien refroidir avant de goûter. 

Oohooh, je viens de dire de bien laisser refroidir avant de goûter.

Tiens, regarde la mer en attendant.


Les karabiges sont un délice de la cuisine libanaise et se conservent plusieurs semaines (si tu les caches bien) dans une boîte en fer blanc. 

mardi 28 mai 2013

On n'achète pas le soleil

Dans ce monde où tout s'achète au gré de nos envies bien plus que de nos besoins, la météo de ce printemps nous ramène un peu sur Terre. Parce que tu vois, dans la vraie vie, tout ne s'achète pas. Le soleil, même quand tu en meurs d'envie, tu dois l'attendre. Même une miette, même un morceau, même une gouttelette (imagine comme ça doit être simplement beau "une gouttelette de soleil") tu dois attendre. 
Tu peux pleurer, tu peux crier, tu peux supplier, tu n'as qu'à te résigner et attendre. 
Comme d'autres attendent la pluie.Toi, tu attends le soleil. 

Et si par hasard il te fait le plaisir de parer ton jardin de quelques uns de ses rayons, tu t'y installes et tu y puises toutes  les ressources possibles. Tu t'en nourris. 
Le jardin quant à lui l'absorbe jusqu'à n'en plus pouvoir. 
En tendant bien l'oreille, tu entendrais les feuilles se tortiller afin qu'aucune partie n'y échappe, même la plus infime. Tu entendrais les pétales jubiler et les fourmis s'invectiver, parce que chacune la veut sa place au soleil. 
Des explosions de cocons sonneraient à tes oreilles si tu les avais assez fines. Tu serais peut-être même gênée par le crissement des ailes des papillons lorsqu'elles se déplient. 


Hormis le contempler, tu aimes lire au jardin. Tu aimes lire le jardin aussi.
Tu as reçu deux revues qui te ravissent. 4 saisons au jardin, la revue de Terre Vivante que tu achètes régulièrement et dans laquelle tu puises de nombreux conseils, et la revue de Botanic. Cette dernière renvoie évidemment au fil des pages, aux boutiques Botanic. Malgré cela, les sujets traités le sont remarquablement, les entretiens jubilatoires (une rencontre avec Alain Baraton dans ce numéro-ci), et au centre de la revue est glissé un portfolio à faire rêver plus d'un photographe.

dimanche 7 avril 2013

L'horloge en vrac

Je ne sais pas si tu as remarqué, mais cette année on a quelques soucis avec le printemps. 
Il ne sait plus lire l'heure ou il est de mauvais poil, je ne sais pas, mais en tous les cas, il se fait désirer.
Côté humain, mise à part une mauvaise humeur chronique, ce n'est pas (encore) trop dramatique. Côté animaux préhistoriques et autres hibernatus, c'est une autre histoire.
Notre Lulu domestique s'étant endormi aux alentours du 20 septembre de l'année dernière, ne se réveillait pas, or dépassé 6 mois, le sommeil peut lui être fatal.
Il a fallu forcer les choses et le sortir du lit, malgré les 6 à 8 petits degrés du dehors. 
Pour faciliter son retour à la vie, on lui a offert un séjour à Center Parc...





Ses potes et lui se la coulent douce entourés de belles plantes.




mardi 26 mars 2013

Mille sabords

Je ne crois pas t'avoir déjà dit que par ici, on cultive des shii-take. 
C'est ce champignon un peu gluant mais très parfumé, utilisé dans la cuisine asiatique...et léonarde. Par ici on l'appelle aussi lentin de Saint Pol. Il se marie particulièrement bien avec les coquillages et le poisson.

Shii take séchés par nos soins
J'avais du haddock dans le frigo prévu pour une salade. Le temps ne se prête pas franchement à un repas froid , alors j'ai mitonné un risotto au haddock et aux lentins.

Tu fais fondre un oignon rose de Roscoff avec les champignons émincés dans un peu de beurre. Tu déverses 500g de riz par-dessus (je dois prévoir des portions à congeler, d'où la quantité pharaonique, si ce n'est pas ton cas, tu adaptes, hein!). Une fois le riz translucide, tu arroses de 10cl de vin blanc sec. Ensuite tu prépares un litre de lait que tu ajoutes en quatre ou cinq fois. Je t'explique: tu recouvres une première fois de lait et tu remues jusqu'à absorption, ensuite tu renouvelles l'opération. Si tu trouves la cuisson un peu juste tu peux ajouter un peu d'eau. Tu termines par un filet de blanc sec. Tu assaisonnes délicatement.

Tu découpes le haddock en carré très petits, tu éminces du persil, et tu incorpores le tout au riz. Tu mélanges avec sagesse, tu vérifies l'assaisonnement, tu laisses refroidir quelques minutes afin d'exaucer le goût et tu passes à table.

Une gouttelette de citron et quelques feuilles de menthe parfont l'ensemble.



lundi 11 mars 2013

Quand s'invite le vent du nord

On ose à peine sortir de la voiture et s'approcher du bord.


D'ailleurs, le panneau le dit, on n'a pas le droit d'y rester.


Mais on est hypnotisé. Totalement.



mardi 15 janvier 2013

C'est mathématique

Je t'ai déjà parlé du pain d'épices, de celui que je fais qui ressemble à du biscôme. C'était au temps où je te vouvoyais encore.
Désormais que le tutoiement est de rigueur, je peux bien te dire qu'il est une autre recette de ce pain dorlotant que j'affectionne tout particulièrement.


Il te faut du miel et de la farine de seigle. De la farine d’épeautre aussi. Tu pèses le seigle (disons 300g), tu mesures 2/3 d'épeautre (200g alors), tu additionnes les deux et tu fais fondre l'équivalent de la moitié de miel (250g donc) dans 40cl de lait.

Je t'avais dit qu'il fallait aimer un peu les mathématiques.

Tu choisis tes épices (gingembre, badiane, clou de girofle, cardamone, cannelle, anis vert, réglisse) et tu les mélanges à tes farines. 
Tu renifles, tu humes, tu sens.
Tu ajoutes une belle cuiller à soupe de bicarbonate de soude, c'est important le bicarbonate de soude. Pour la levée et pour la couleur.

Ensuite tu incorpores ton lait miellé et tiédi.
Tu remues. Tu renifles, tu humes, tu sens.

Tu recouvres d'un film alimentaire et tu laisses reposer à température ambiante au moins deux belles heures. Tu peux pousser le vice jusqu'à une nuit.

Tu préchauffes ton four à 160°C et tu laisses cuire doucement dans un moule à cake pendant une heure.

Rappelle-toi qu'il te faut résister à la tentation et attendre que ton pain d'épices soit bien froid pour t'en tailler une tranche.


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