Le Jardin n'a jamais si bien porté son nom. Depuis plusieurs jours, il est là. Le vent.
En général on l'aime, il nous manque quand il se retient, mais là il atteint le stade où on ne se demande plus si on l'aime ou pas.
On s'en protège, c'est tout.
Il envahit nos sens. On le sent, on l'entend, on le respire, il amène avec lui multitude de goûts et d'odeurs. Il fait gronder les flots. La végétation s'accroche.
Au rythme des marées, les marais et les terres plus basses se lacquéfient (ouais). Les oiseaux se planquent, les poissons on n'ose même pas imaginer.
On laisse des bougies et des lampes de poches dans tous les coins, on sait jamais. Quand on regarde le poteau qui soutien la ligne téléphonique, on se demande si sa danse durera longtemps avant qu'il ne cède.
C'est notre hiver à nous, celui qu'on sait et dont on ne se passerait pas.
C'est notre hiver à nous, celui qu'on sait et dont on ne se passerait pas.
Et alors qu'on dort une oreille aux aguets, soit pour l'écouter, soit pour entendre la grêle, soit pour s'étonner d'une accalmie (jamais bien longue), Lulu s'en fiche royalement et ne nous demandera même pas à son réveil au printemps:
"Bien dormi??"
BOnsoir écoute je ne vois pas grand chose en noir mais assez pour te dire que je n'aime pas le vent et je le supporte de moins en moins*
RépondreSupprimerICI nous avons le Mistral et lorsqu'il arrive je fais mon possible pour me cacher
Pour le sable et bien pas trop de soucis ici mais chez toi c'est une autre histoire
Alors je vais laisser LULU au calme Je t'embrasse
Eh oui....ça souffle dur ces temps-ci !Profite bien de tes vacances pour aller prendre...LE VENT !!!
RépondreSupprimerC'est parti pour les tempêtes , pour l'instant c'est calme dans les Cotes d'Armor .
RépondreSupprimerJ'aime pas ça ...
Bises de Louise
Donc tu es dans le vent! Pas si fréquent à nos ages ;-)
RépondreSupprimerBienheureux Lulu !!!
RépondreSupprimerJe pense à vous parce que ça souffle ici aussi et notre grand bouleau, pile dans l'axe du grand vent d'ouest, se balance dangereusement !Cette nuit, ça va décoiffer et j'espère que le poteau électrique tiendra bon ...
Même ici, c'est le vent qui tourneboule le jardin, alors, je n'ose imaginer chez vous ... J'ai des nouvelles d'Oléron, où l'on arrime tout ce qui peut s'attacher et où l'on se calfeutre, comme Lulu. Faire le gros dos sous la tempête ... On pense à vous, courage !
RépondreSupprimerEn entendant les rafales ici, je me dis que ce doit être quelque chose chez toi... Alors je te souhaite bon courage pour les heures à venir.
RépondreSupprimerIci j'ai à chaque fois,le souci de mes grands arbres. Bien qu'entretenus, nous craignions toujours des dégâts.